V.I. dans le Calvados et l'Orne

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Notre première destination est Lisieux, distant d’une vingtaine de kilomètres. Nous y arrivons en passant par St-Philbert-des Champs. Lisieux, c’est pour moi un souvenir de mai 1940. Mes parents, ayant dû abandonner leur voiture accidentée à Nurlu, près de Péronne dans la Somme, avaient, après moult péripéties, été hébergés près de Lisieux. Et je me souviens que nous étions venus à pied jusqu’à la Basilique, en passant par d’adorables chemins de campagne bordés de pâtures et de vergers. Je suis repassé à Lisieux vers 1950, au cours d’un voyage à vélo de Valenciennes à St-Cast avec deux compagnons de route. Cette année, c’est donc la troisième fois que j’y viens. Pour Marguerite-Marie, c’est la première fois. On peut aimer ou ne pas aimer la Basilique, c’est selon les goûts de chacun. Pour moi, je la trouve plus accueillante et « chaude » que La Treille à Lille, par exemple.
Notre première destination est Lisieux, distant d’une vingtaine de kilomètres. Nous y arrivons en passant par St-Philbert-des Champs. Lisieux, c’est pour moi un souvenir de mai 1940. Mes parents, ayant dû abandonner leur voiture accidentée à Nurlu, près de Péronne dans la Somme, avaient, après moult péripéties, été hébergés près de Lisieux. Et je me souviens que nous étions venus à pied jusqu’à la Basilique, en passant par d’adorables chemins de campagne bordés de pâtures et de vergers. Je suis repassé à Lisieux vers 1950, au cours d’un voyage à vélo de Valenciennes à St-Cast avec deux compagnons de route. Cette année, c’est donc la troisième fois que j’y viens. Pour Marguerite-Marie, c’est la première fois. On peut aimer ou ne pas aimer la Basilique, c’est selon les goûts de chacun. Pour moi, je la trouve plus accueillante et « chaude » que La Treille à Lille, par exemple.
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Version du 21 janvier 2008 à 02:33

Ce récit est extrait du Pignon voyageur

V.. dans le Calvados et l'Orne

Pierre D., mai 2007

du samedi 19 mai au samedi 26 mai 2007

Participants
Marguerite-Marie et moi-même
Matériel
M.M, sa randonneuse Méral avec son petit sac de guidon, sa mallette de porte-bagages arrière et ses deux sacoches latérales Pégar (ravitaillement de secours).
Moi, ma randonneuse bleue Berthoud avec mon sac de guidon, mes deux surbaissées avant, et à l’arrière les deux sacoches bleues Chapak (bagages de M.M.). Au pédalier, j’ai 44/36/24, à l’arrière 14/16/18/20/22/24.
Sommaire
1° étape : Blangy-le- Château – Argentan 91km
2° étape : Argentan – Putanges 74km
3° étape : Putanges - Villers-Bocage 64km
4° étape :Villers-Bocage – Montfiquet 56km
5° étape :Montfiquet – Troarn 59km
6° étape :Troarn - Blangy-le-Château 64km
Prévisions météo
bonnes pour toute la semaine, en tout cas sans pluie, d’où notre décision de partir illico.

Arrivée au lieu de départ

Nous avons quitté Marcq le vendredi 18 mai à 14h30, par l’autoroute, direction Amiens et Rouen, pour prendre la A13. Nous l’avons quittée à Beuzeville pour la D22 vers Bonneville-la-Louvet, puis Blangy-le-Château. Nous avions réservé à l’hôtel Le Bernay. Celui se trouve sur la place et nous le trouvons sans peine. L’hôtel est très simple, mais les gens très accueillants.

EN ROUTE

Samedi 19 mai : Blangy-le-Château – Argentan

Nous quittons nos hôtes à 8h20 en leur laissant en garde notre voiture, garée dans la cour de l’hôtel, et en leur confiant les clés.

Tout de suite, nous nous rendons compte que nous ne sommes plus dans notre cher plat pays, les côtes ne sont pas très longues, mais assez « nerveuses ».

Notre première destination est Lisieux, distant d’une vingtaine de kilomètres. Nous y arrivons en passant par St-Philbert-des Champs. Lisieux, c’est pour moi un souvenir de mai 1940. Mes parents, ayant dû abandonner leur voiture accidentée à Nurlu, près de Péronne dans la Somme, avaient, après moult péripéties, été hébergés près de Lisieux. Et je me souviens que nous étions venus à pied jusqu’à la Basilique, en passant par d’adorables chemins de campagne bordés de pâtures et de vergers. Je suis repassé à Lisieux vers 1950, au cours d’un voyage à vélo de Valenciennes à St-Cast avec deux compagnons de route. Cette année, c’est donc la troisième fois que j’y viens. Pour Marguerite-Marie, c’est la première fois. On peut aimer ou ne pas aimer la Basilique, c’est selon les goûts de chacun. Pour moi, je la trouve plus accueillante et « chaude » que La Treille à Lille, par exemple.


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