Vie de château, vie de cyclo en Ardèche
Un article de RcmWiki.
Ce récit est extrait du Pignon voyageur
Vie de château, vie de cyclo en Ardèche
Thérèse et Agnès, juin 2007
Vendredi 22 juin
Agnès et Thérèse sont sorties de leur Drôme avec plein de soleil et de fleurs dans la tête : balades, baignades. C’était le rêve... Mais à peine arrivées dans l’Ardèche, c’est la vie de château qui les attendait : chaleureux accueil des copains cyclos et de la gentille hôtesse. Grande chambre dans la tour ronde du château : un grand lit à baldaquin (pour Agnès seulement, car pour Thérèse c’était seulement un petit lit de camp)
Dans l’immense salle de bains : un escalier pour entrer dans la baignoire en forme de fleur !! Que demander de plus ?
Le lendemain, samedi 23 juin, c’est moins drôle : lever à 5 heures pour un départ de toute la journée en car pour aller voir le Mont Gerbier de Jonc : la route fut splendide.
Les cyclos, eux, sont partis faire leur Ardéchoise avec 12000 participants. Grand bien leur fasse... !
Après fini la vie de château et c’est la vie de cyclo qu’il a fallu affronter.
Nous avons été gâtées, choyées par Roland et les autres. Merci encore à tous.
Senteurs, couleurs, odeurs. Plein les mirettes. Plein les poumons. Nous ne sommes pas prêtes à oublier cette semaine « phénoménale ».
Ardéchois Mon Ami
Ardéchois, mon ami, que l’on dit cœur fidèle
Retourne-toi un peu ; où est-il ton pays ?
Ce petit coin de terre, qui un jour t’a vu naître
Là ou tes vieux parents, t’ont fait aimer la vie.
Ce n’était pas pour l’aventure,
Que tu quittas ton beau pays ;
Mais pour ton cœur une blessure
Mais il faut bien gagner sa vie
Les années passent toutes semblables,
Ce jour pareil au lendemain ;
Situation presque enviable
Quand côté travail tout va bien
Là ou tu es, oui rien ne manque ;
Grands magasins sortie, cinés,
Quelquefois même une bonne planque
Et un appartement douillet ;
Oui mais voila souvent tu penses ;
Ou sont-ils donc, ces jolis monts,
Les jolis prés de mon enfance
Le doux parfum des fenaisons
Tu es si loin de ton enfance
Et ces souvenirs confondus
Ces chers moments toujours vivaces
Sont-ils à jamais révolus ?
Car le bonheur est une chose
Bien difficile à définir
Si sur le seul confort repose
Alors ton pays va mourir
